Changements alimentaires (Phase #3) - Ma transition au végétalisme
Dans cette troisième phase de ma transition alimentaire, j'introduis mes expériences et connaissances en lien avec ma transition alimentaire. Durant la période entre la deuxième et la troisième phase, je me considérais plus comme un omnivore, une personne qui se nourrit de matières animales et végétales. Ce n'était qu'au moment de déménager que j'ai choisi de faire la transition et de ne plus revenir en arrière. Cette phase-ci avait été très plaisante et déterminante pour la suite des choses. J'étais très content d'avoir fait la transition et d'avoir laissé ces choses derrière moi et je me sentais très bien dans mon corps.
Déménagement
Peu avant cette transition-ci, je possédais un morceau de viande, un morceau de dinde, un morceau de poulet et quelques oeufs dans mon congélateur et dans mon réfrigérateur. J'étais sur une « lancée » où je nourrissais mon corps presque seulement avec de la salade grecque ou avec une omelette au brocoli et du bacon ou avec des légumes et du hummus. J'aimais beaucoup ces recettes et je ne pensais plus à la viande encore présente dans mon congélateur.
Mais, c'était au moment de me préparer pour mon déménagement que je devais faire un choix : jeter les morceaux de viande à la poubelle ou de les déguster pour la dernière fois et de constater comment je me sens lorsque je nourris mon corps avec de la viande. J'ai choisi la dernière option. J'avais effectivement pris la bonne décision, car cela m'avait permis de mettre un trait définitif sur la viande et les oeufs. Lorsque je les dégustais, je n'aimais pas le sentiment que ces aliments envoyaient à mon corps. Leur goût non plus. Je ressentais que mon corps digérait mal ces aliments, je ressentais l'acidité et/ou une activité (au niveau des cellules) qui était plutôt dérangeante dans mon corps. Bref, mon corps assimilait assez difficilement ces aliments, et j'ai tout de suite arrêté les dégustations rendant le sujet totalement clos. Je n'ai plus jamais mangé de viande ou d'oeuf par la suite.
Spiritualité et la Nature
Non seulement que mon corps physique s'élevât en fréquence (niveau de santé plus élevé) et puisse seulement être nourri d'aliments naturels, il y avait aussi un autre facteur qui avait motivé mon choix. Je devenais conscient de ma spiritualité et de ma connexion avec les animaux, les poissons et la Terre. Je ne pouvais plus participer à ce qui était auparavant le moyen de nourrir notre corps avec de la chair animale ou avec des produits dérivés des animaux. Durant la phase précédente, j'avais déjà fait la transition pour le lait d'amande et là c'était vers les protéines végétales afin de remplacer la viande et les oeufs. Ce n'était que vers le dernier trimestre 2016 que j'ai fait la dernière transition, soit d'arrêter la consommation de yogourt et du poisson. J'étais alors devenu ce qui était appelé durant cette période et même au moment d'écrire ces mots, un végétalien.
Impacts énergétique de la transformation des aliments
Lorsque j'ai appris sur les méthodes de transformation des aliments, j'ai beaucoup appris sur la quantité d'énergie qui change dans les aliments à travers les divers processus de transformation. Par exemple, le processus de conception d'un biscuit requiert de l'énergie pour la ou les transformation(s), il requiert les multiples ingrédients naturels ou déjà transformés, etc. Consommer de la nourriture directement depuis sa source de fabrication, par exemple, une pomme qui provient du pommier ou une carotte qui provient de la terre ou des bleuets qui proviennent du bleuetier. J'ai appris que l'énergie du soleil s'ajoutant à la photosynthèse des aliments est une énergie bien plus naturelle, et ce qui rend les aliments bien meilleurs au goûter et plus nourrissants. Je venais alors de confirmer, par ces connaissances et par les faits, ce que je soupçonnais déjà sur la transformation énergétique des aliments, et j'avais décidé de nourrir mon corps avec le plus d'énergie possible, donc les aliments devaient être naturels et les moins transformés possible.
Le potentiel d'hydrogène (pH)
J'avais introduit cet outil dans la phase #2 et je l'ai beaucoup plus utilisé dans cette phase #3 : le potentiel d'hydrogène (pH). J'ai appris que le taux d'acidité élevé dans mon corps n'aidait pas à élever mon niveau de santé global, je ressentais qu'il y avait plus d'inflammation ou de malaise dans mon corps. Que le niveau du pH soit acide ou alcalin, les différentes réactions de mon corps me tenaient informé où j'en étais avec le balancement de mon corps. Par exemple, un morceau de viande ou quelques pâtes sont plutôt acides alors qu'une salade verte est plutôt neutre ou alcaline, selon ce que je ressentais et selon les sources d'information que je pouvais trouver sur l'internet. Je buvais soit la combinaison eau-jus de lime (plus acide) ou eau-bicarbonate de sodium (plus alcalin) afin de neutraliser le pH, et par conséquent, neutraliser les symptômes dus au « travail chimique » qui se déroulait dans mon corps (désintoxication). Selon le ressenti de mon corps et ce que j'avais ingéré dans mon corps auparavant me permettaient de faire des choix de repas judicieux avec l'intention que je me sente bien dans mon corps.
Ce que j'ai appris jusqu'ici
Plusieurs éléments étaient devenus importants à ce moment-là : aucun produit dérivé animal dans la nourriture, les aliments ingérés par mon corps devaient être naturels et non-transformés, et facilement assimilables par mon corps. Plus la fréquence (ou le niveau d'énergie) des aliments est haute, plus le sentiment d'être dans mon corps est merveilleux. J'ai aussi utilisé le terme « densité » des aliments ; moins denses sont les aliments, plus rapide est leur digestion dans mon corps. C'est la différence entre une patate et un smoothie, par exemple, ou un morceau de viande et un morceau de céleri. Ces riches expériences ont été ajoutées à ma base de connaissances déjà bien remplie.
Spiritualité - Végétalisme - Acceptation Sociale
Le dernier aspect de cette transition est la combinaison spiritualité-végétalisme-acceptation sociale. J'étais probablement la première personne dans mon entourage familial à ce moment-là de faire une transition de la sorte. Le végétalisme était connu que par peu de personnes durant cette période et j'avais eu droit à des gens plutôt « inquiets » ou un peu « curieux » au tout début. Cette épreuve dans ma vie m'avait aidé à développer mon autonomie, mon indépendance et ma confiance en moi. J'étais de retour aux études universitaires, en environnement, lorsque j'ai fait cette transition, et j'avais quelques collègues de classe qui étaient déjà végétalien(ne)s ou qui étaient aussi dans une transition semblable. Cet environnement m'avait aussi aidé dans mon développement personnel.
Résumé
En résumé, cette transition vers le végétalisme avait été assez simple et rapide puisque je pouvais facilement suivre le ressenti de mon corps et le faire confiance, je savais comment m'aligner pour la transition avec toutes ces connaissances déjà présentes sur l'internet à ce sujet, et je savais que j'étais aisément guidé par mon intuition pour que la transition soit simple et rapide. J'avais l'intention de bien me sentir dans mon corps et d'en prendre soin, et j'ai utilisé mon côté scientifique qui m'a permis de bien comprendre ce que je faisais. Alors, un bel enchaînement pour m'aider dans mon développement personnel.
* Toutes ces images ont été téléchargées du site Pixabay
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